Taiwanest le premier producteur de semi-conducteurs au monde si la chine s'empare du pays ils pourront contrôler la production et les prix de l'électronique dans le monde entier, les USA vont tout faire pour empêcher que ça arrive. Répondre Citer.
27 Mai 2016 Jusqu’où ira Hillary Clinton pour accéder à la Maison-Blanche et que pourrait-on attendre de son éventuelle présidence? Nous avons posé la question à Diana Johnstone. Dans son récent ouvrage Hillary Clinton, la reine du chaos, elle analyse le lien entre les ambitions de la candidate sans scrupule et la machine qui sous-tend l’empire américain. Du coup d’Etat au Honduras à la guerre en Libye en passant par l’instrumentalisation de la cause féministe, Diana Johnstone nous dévoile la face cachée de la candidate démocrate et nous met en garde sur le Smart Power » cher à Clinton. Enfin, elle analyse pour nous le succès de Donald Trump et ce que son alternative représente vraiment. La course à la Maison-Blanche se fait au coude-à-coude. Hillary Clinton a-t-elle une chance de l’emporter ? Comment analysez-vous sa campagne jusqu’ici ? Elle a commencé sa campagne en grande favorite, mais ne cesse de baisser dans les sondages. Avec toute la machine du Parti démocrate à son service, un énorme trésor de guerre, et la certitude de gagner les premières primaires dans les Etats du Sud, Hillary Clinton avait une longueur d’avance qui rendait le rattrapage de son challenger imprévu Bernie Sanders quasi impossible. Pourtant, ce vieux sénateur peu connu, se qualifiant de socialiste démocratique » dans un pays où le socialisme est largement considéré comme l’œuvre du diable, a suscité un enthousiasme extraordinaire, notamment parmi les jeunes. Quoi qu’il arrive, la campagne inattendue de Bernie a réussi à attirer l’attention sur les liens quasi organiques entre les Clinton et Wall Street, liens occultés par les grands médias. Pour la première fois, ceux-ci ont été efficacement contrecarrés par Internet qui fourmille de vidéos dénonçant la cupidité, les mensonges, la bellicosité de Mme Clinton. Par ailleurs, Hillary Clinton court le risque d’ennuis graves à cause de son utilisation illicite de son propre serveur email en tant que secrétaire d’Etat. Au cours des primaires, sa popularité a baissé tellement que le Parti démocrate doit commencer à être effrayé de nommer une candidate trainant tant de casseroles. Les derniers sondages montrent que l’impopularité de Hillary Clinton commence à dépasser l’impopularité de Trump. Pour beaucoup d’électeurs, il sera difficile de choisir le moindre mal ». La campagne de Hillary Clinton aurait déjà coûté 89,6 millions de dollars. De quels personnages influents a-t-elle le soutien ? Peut-on deviner, à partir de là, quels intérêts Clinton pourrait défendre si elle devient présidente ? Celui qui se met le plus en avant est un milliardaire israélo-américain, Haim Saban, qui s’est vanté de donner autant d’argent qu’il faut » pour assurer l’élection de Hillary. En retour, elle promet de renforcer le soutien à Israël dans tous les domaines, de combattre le mouvement BDS et de poursuivre une politique vigoureuse contre les ennemis d’Israël au Moyen-Orient, notamment le régime d’Assad et l’Iran. Le soutien financier considérable qu’elle reçoit de l’Arabie saoudite va dans le même sens. D’autre part, les honoraires faramineux reçus de la part de Goldman Sachs et d’autres géants de la finance laissent peu de doute sur l’orientation de sa politique intérieure. En devenant la première femme présidente des Etats-Unis, pensez-vous que Hillary Clinton ferait avancer la cause féministe ? Le fait d’être femme est le seul élément concret qui permet à Hillary de prétendre que sa candidature soit progressiste. L’idée est que si elle brise le plafond de verre » en accédant à ce poste suprême, son exemple aidera d’autres femmes dans leur ambition d’avancer dans leurs carrières. Mais pour la masse des femmes qui travaillent pour de bas salaires, cela ne promet rien. Il faut placer cette prétention dans le contexte de la tactique de la gauche néolibéralisée de faire oublier son abandon des travailleurs, c’est-à-dire de la majorité, en faveur de l’avancement personnel des membres des minorités ou des femmes. Il s’agit de la politique identitaire » qui fait oublier la lutte des classes en se focalisant sur d’autres divisions sociétales. En d’autres termes, la politique identitaire signifie le déplacement du concept de l’égalité du domaine économique à celui de la subjectivité et des attitudes psychologiques. Dans votre livre, Hillary Clinton, la reine du Chaos, vous revenez sur la guerre du Kosovo. Hillary Clinton était la première Dame des Etats-Unis à l’époque. En quoi le bombardement de la Yougoslavie en 1999 a-t-il été un épisode marquant de son parcours politique ? Avec son amie Madeleine Albright, l’agressive ministre des Affaires étrangères de l’époque, Hillary poussait son mari Bill Clinton à bombarder la Yougoslavie en 1999. Cette guerre pour arracher le Kosovo à la Serbie fut le début des guerres supposées humanitaires » visant à changer des régimes qui ne plaisent pas à Washington. Depuis, Hillary s’est fait la championne des changements de régime », notamment en Libye et en Syrie. Dans mon livre, La Reine du Chaos, je souligne l’alliance perverse entre le complexe militaro-industriel américain et certaines femmes ambitieuses qui veulent montrer qu’elles peuvent faire tout ce que font les hommes, notamment la guerre. Un intérêt mutuel a réuni les militaristes qui veulent la guerre et des femmes qui veulent briser les plafonds de verre. Si les militaristes ont besoin de femmes pour rendre la guerre attrayante, certaines femmes très ambitieuses ont besoin de la guerre pour faire avancer leur carrière. Les personnalités les plus visiblement agressives et va-t’en guerre de l’administration Obama sont d’ailleurs des femmes Hillary, Susan Rice, Samantha Power, Victoria Nuland… C’est un signal au monde pas de tendresse de ce côté-ci ! On peut ajouter le Honduras au tableau de chasse de Hillary Clinton. Elle était fraîchement élue secrétaire d’Etat lorsqu’en 2009, l’armée a renversé le président Manuel Zelaya. Un avant-goût de la méthode Clinton ? Son rôle en facilitant le renversement par des militaires d’un président démocratiquement élu illustre à la fois ses méthodes et ses convictions. Ses méthodes sont hypocrites et rusées elle feint une désapprobation du procédé tout en trouvant les moyens de l’imposer, contre l’ensemble de l’opinion internationale. Ses convictions, c’est clair, l’amènent à soutenir les éléments les plus réactionnaires dans un pays qui est le prototype de la république bananière c’est le pays le plus dominé par le capital et par la présence militaire des Etats-Unis de toute l’Amérique latine, le plus pauvre après Haïti. Zelaya aspirait à améliorer le sort des pauvres et des indigènes. Il osait même proposer de convertir une base militaire américaine en aéroport civil. A la trappe ! Et depuis, les opposants – par exemple la courageuse Bertha Caceres – sont régulièrement assassinés. Cette méthode porte un nom, le Smart Power. Pouvez-vous nous expliquer ce que c’est ? Dans le discours washingtonien, on distingue depuis longtemps le hard power » militaire du soft power » économique, politique, idéologique, etc.. Hillary Clinton, qui se vante d’être très intelligente, a pris comme slogan le Smart Power », le pouvoir malin, habile, qui ne signifie qu’une combinaison des deux. Bref, elle compte utiliser tous les moyens pour préserver et avancer l’hégémonie mondiale des Etats-Unis. Si le Smart Power aspire à combiner la méthode douce et la manière forte, cette dernière semble avoir la préférence de Clinton malgré tout ! Oui, en tant que chef de la diplomatie américaine, Hillary Clinton a souvent montré une préférence pour la force contre l’utilisation de la diplomatie. On voit les mêmes tendances chez ses consœurs Madeleine Albright, Susan Rice ou Samantha Power. Surtout dans le cas de la Libye, Clinton a saboté les efforts de médiation des pays africains et même d’officiers supérieurs américains et du membre du Congrès Kucinich qui avaient pris contact avec les représentants de Gaddafi en quête d’un compromis pacifique. Elle s’opposait aussi aux négociations avec l’Iran. Et elle est prête à risquer la guerre avec la Russie pour chasser Assad, ce qui s’accorde avec son hostilité affichée envers Poutine. Les années Bush et la brutalité des néoconservateurs ont frappé les esprits, mais le Smart Power de Clinton semble tout aussi dangereux, non ? Tout à fait, cette femme est très dangereuse. Alors que les Etats-Unis s’apprêtent à renouveler leur arsenal nucléaire, alors qu’ils mènent une campagne de propagande haineuse antirusse qui dépasse celle de la guerre froide, alors qu’ils obligent leurs alliés européens à acheter une quantité énorme d’avions de guerre made in USA tout en poussant l’Otan à concentrer les forces militaires le long des frontières russes, la présidence de Mme Hillary Clinton représenterait un péril sans précédent pour le monde entier. Vous pointez dans votre ouvrage tout le poids du complexe militaro-industriel dans la politique étrangère des Etats-Unis. Finalement, la personne qui occupe le bureau ovale a-t-elle une marge de manœuvre ? La base matérielle de la politique guerrière des Etats-Unis, c’est ce complexe militaro-industriel MIC, né au début de la guerre froide, contre la dangerosité duquel le président Eisenhower lui-même a averti le public en 1961. Il a fini par dominer la vie économique et politique du pays. Les intellectuels organiques de ce complexe, logés dans les think tanks et les rédactions des grands journaux, ne cessent de découvrir, ou plutôt d’inventer, les menaces » et les missions humanitaires » pour justifier l’existence de ce monstre qui consomme les richesses du pays et menace le monde entier. Les présidents passent, le MIC reste. Depuis l’effondrement de l’Union soviétique, le Parti de la Guerre » se sent tout-puissant et devient plus agressif que jamais. Hillary Clinton a tout fait pour devenir leur candidate préférée. Comment construire dès lors une alternative à ce Parti de la Guerre ? C’est la grande question à laquelle je ne saurais répondre. Par ailleurs, il n’existe pas de formule pour de tels bouleversements, qui dépendent d’une diversité de facteurs, souvent imprévisibles. La candidature tellement décriée de Trump pourrait en être un, car le vieil isolationnisme de droite est certainement un des éléments qui pourrait contribuer à détourner Washington de son cours vers le désastre. Qu’on le veuille ou non, il faut reconnaître que la gauche » est trop impliquée dans la farce des guerres humanitaires » pour être la source du revirement. Il faut une prise de conscience qui dépasse les divisions de classes et d’étiquettes politiques. La situation est grave, et tout le monde est concerné. Trump se demande en effet pourquoi les Etats-Unis devraient jouer au gendarme dans le monde entier, plaide pour des relations plus constructives avec la Russie et interroge l’utilité de l’Otan. Il est même opposé au TTIP ! Mais son protectionnisme conservateur ne pourrait-il pas conduire à d’autres guerres de grande ampleur ? N’y a-t-il pas d’autre espoir ? Il est difficile de qualifier un personnage tel que Trump comme espoir », mais il faut le situer dans le contexte politique américain. En Europe, et notamment en France, on persiste à prendre le spectacle des élections présidentielles américaines comme une évidence de la nature démocratique » du pays. Mais tous ces spectacles, avec leurs conflits et leurs drames, tendent à obscurcir le fait central la dictature de deux partis, tous les deux dominés par le complexe militaro-industriel et son idéologie d’hégémonie mondiale. Ces deux partis sont protégés de concurrence sérieuse par les règles particulières à chacun des cinquante Etats qui rendent quasiment impossible la présence d’un candidat tiers. L’exploit de Trump est d’avoir réussi à envahir et d’accaparer l’un de ces deux partis, le Parti républicain, qui se trouvait dans un état de dégradation intellectuelle, politique et morale extrême. Il l’a accompli par une sorte de démagogie très américaine, perfectionnée pendant sa prestation en tant que vedette d’un programme de télé-réalité ». C’est une démagogie empruntée au show-business plutôt qu’au fascisme. On ravit l’auditoire en étant choquant. L’invasion du jeu électoral par cet amuseur de foules est très significative de la dépolitisation du pays – tout comme la réussite plus modeste de Bernie Sanders montre le désir d’une minorité éclairée progressiste de réintroduire le politique dans le spectacle. Le Parti démocrate, tout corrompu qu’il soit, garde vraisemblablement assez de vigueur pour marginaliser l’intrus. Il a une ligne politique claire, représentée par Hillary Clinton néolibéralisme et hégémonie mondiale sous couvert des droits de l’homme. Il fera tout pour bloquer Sanders. Mais on peut toujours espérer que le mouvement inspiré par sa candidature contribuera à un renouveau durable de la gauche. A court terme, il reste Trump, ancien démocrate plus ou moins, malhonnête comme l’est forcément un homme d’affaires qui a réussi dans l’industrie de la construction, égoïste, comédien, dont on ne sait pas trop à quoi s’attendre. Seulement, il peut difficilement être pire que Hillary, ne serait-ce que parce qu’il casse le jeu actuel qui mène directement à la confrontation avec la Russie. En tant que présidente, Hillary se trouverait bien chez elle à Washington entourée de néocons et d’interventionnistes de tout poil prêts à s’embarquer ensemble dans des guerres sans fin. Lui par contre se trouverait dans un Washington hostile et consterné. Ce serait une version originale du chaos créateur » cher aux interventionnistes. L’idée que le protectionnisme mène à la guerre » fait partie de la doctrine du libéralisme. En réalité, nous sommes déjà en pleine guerre, et un peu de retrait chez soi de la part des Américains pourrait calmer les choses. Que ce soit Trump ou Sanders, un certain protectionnisme » à l’égard des produits chinois serait nécessaire pour faire redémarrer l’industrie américaine et créer des postes de travail. Mais il est impossible aujourd’hui de pratiquer le protectionnisme » des années 1930. La peur du protectionnisme » mène à la politique néolibérale actuelle de l’Union européenne qui détruit toutes les protections des travailleurs. Au lieu de craindre Trump, l’Europe ferait mieux de le regarder comme un révélateur. Face à cette Amérique, les Européens doivent retrouver la vieille habitude de formuler leurs propres objectifs, au lieu de suivre aveuglément une direction politique américaine profondément hypocrite, belliqueuse et en pleine confusion. Le bon protectionnisme serait que les Européens apprennent à se protéger de leur grand frère transatlantique. Source Investig’Action Voir Diana Johnstone, Hillary Clinton. La reine du chaos, Editions Delga, 2015 Diana Johnstone analyse le lien entre les ambitions d’une politicienne sans scrupule, Hillary Clinton, et la machine qui sous-tend “l’empire américain” le complexe militaro-industriel, les médias, le lobby pro-israélien, et les intellectuels qui orientent le discours sur les droits de l’homme, le multiculturalisme ou les droits de minorités en faveur de la guerre perpétuelle. Passant en revue les conflits au Honduras, au Rwanda, en Libye, Bosnie, Kosovo, Irak, Syrie et Ukraine, Diana Johnstone illustre une caractéristique de l’empire américain qui diffère des empires passés une volonté de destruction d’ennemis potentiels plutôt que d’occupation et d’exploitation. En se faisant la porte-parole de “gauche” de l’offensive actuelle contre la Russie, avec le risque de guerre nucléaire qu’elle entraîne, Hillary Clinton renforce un des principaux dangers qui menacent l’humanité aujourd’hui.
Aprèsplusieurs années de lutte, leur objectif est atteint. Alpoha CONDÉ est au pouvoir. Mais à la surprise générale, c’est le même Kassory FOFANA qui est promu à un poste spécialement inventé pour lui. Tandis que les militants et sympathisants R.P.G. végètent dans la misère, et sont traités de plus malhonnêtes du pays. Je
Avec une fortune de 127,9 milliards de dollars, l'entrepreneur américain Elon Musk est désormais la deuxième personne la plus riche au monde, devant le fondateur de Microsoft Bill Gates, selon le dernier classement des milliardaires établi par Bloomberg. Elon Musk, le tumultueux patron du constructeur de véhicules électriques Tesla, est passé devant Bill Gates pour devenir le deuxième homme le plus riche au monde, selon le classement des milliardaires de l'agence Bloomberg. La fortune de l'entrepreneur de 49 ans né en Afrique du Sud s'est étoffée de 7,24 milliards de dollars sur la seule journée de lundi, grimpant à 128 milliards de dollars. L'ultra-médiatique dirigeant, qui est également co-fondateur de la société spatiale SpaceX, était déjà passé en quelques semaines devant Mark Zuckerberg, le dirigeant de Facebook, et Bernard Arnault, le patron du groupe de luxe LVMH. Sur le podium des multi-milliardaires, il n'est plus que derrière Jeff Bezos, le fondateur du géant du commerce en ligne Amazon, dont la fortune est estimée à 182 milliards de dollars. Les riches, encore plus riches Bill Gates complète le trio de tête avec une fortune évaluée à 127,7 milliards de dollars. L'ancien co-fondateur de Microsoft a vu sa fortune fondre parce qu'il en consacre une bonne partie à la fondation Bill et Melinda Bloomberg, les plus riches ont vu leur fortune cumulée croître de milliards de dollars depuis janvier, en hausse de 23%, alors que la pandémie de coronavirus a provoqué le ralentissement de l'économie mondiale et entraîné des cortèges de licenciements et une vague de faillites d'entreprises aux Etats-Unis. L'ascension fulgurante de M. Musk dans le classement des grosses fortunes est lié à l'envolée du titre de Tesla à Wall Street, qui a pris plus de 500% depuis le début de l'année et y vaut désormais 495 milliards de dollars. Ce qui a permis à M. Musk, qui possède environ 18% de la société, de gagner 100 milliards sur la même période. Le groupe est d'une part devenu rentable, parvenant à gagner de l'argent pendant cinq trimestres consécutifs. Un engouement de nombreux investisseurs pour Tesla Son action a par ailleurs été dopée ces dernières semaines par l'élection à la présidence des Etats-Unis de Joe Biden, qui a promis de favoriser le développement des véhicules électriques dans le pays, et par l'annonce de la prochaine entrée du groupe dans le prestigieux indice S&P 500. En faire partie permettra à l'action Tesla d'être systématiquement incluse dans de nombreux produits financiers qui suivent mécaniquement ses fluctuations, les ETF, ce qui devrait lui donner encore plus d'ampleur. Tesla profite de façon générale de l'engouement de nombreux investisseurs pour ce qu'ils considèrent être le futur de l'automobile. Même s'ils écoulent bien plus de véhicules, les fabricants plus traditionnels de voitures General Motors et Ford ne valent en Bourse que 64 milliards et 35 milliards de dollars respectivement. COVID 19 Belgique où en est l'épidémie ce mardi 24 novembre?
AmaraBalato Keïta : des sanctions qui ne se limitent pas au blocage de salaire, mais jusqu’à la radiation les attendent. Parce que c’est très malhonnête de blaguer avec l’avenir des futurs cadres, c’est blaguer avec le pays. Donc celui qui vole ou triche un examen, a trahi le pays. Et, ces dispositions-là sont le bienvenu parce qu
Malgré une atmosphère nationale très sombre, 37 % des gens aux États-Unis déclarent vivre dans le meilleur pays de la planète, rapporte The Guardian. Publié le 09 mai 2019 à 15h11 “Plus de 40 % des Américains n’apprécient pas du tout’ le président, 70 % jugent leurs élus malhonnêtes’ et 64 % pensent que les États-Unis sont divisés entre les gens ordinaires et les élites corrompues qui les exploitent’. Et pourtant, ils ont beau avoir le sentiment qu’il y a quelque chose de pourri dans leur pays, les Américains ont cette particularité de garder une foi inébranlable dans leur mythe national.” Comme le souligne le journal britannique The Guardian, les résultats de l’étude YouGov-Cambridge Globalism Project peuvent surprendre. Car les Américains sont en proportion les plus nombreux à déclarer qu’ils vivent dans “le meilleur pays du monde”. “L’exceptionnalisme américain est bien vivant”, constate le quotidien, partenaire de cette nouvelle étude annuelle, conduite dans 23 grands pays auprès de plus de 25 000 personnes. Seuls 6 % des Français affirment que leur pays est le meilleur du monde – à peine plus qu’en Allemagne, le pays où ce chiffre est le plus bas, à 5 %. Les Australiens et les Canadiens sont bien plus enclins à penser vivre dans le meilleur pays du monde, comme le disent respectivement 29 % et 28 % des interrogés. En Chine aussi, la proportion monte à 29 %. Ce sont bien toutefois les États-Unis qui ont le record en la matière 37 % des interrogés déclarent que leur pays est le meilleur. Source de l’article The Guardian LondresL’indépendance et la qualité caractérisent ce titre né en 1821, qui compte dans ses rangs certains des chroniqueurs les plus respectés du pays. The Guardian est le journal de référence de l’intelligentsia, des enseignants et des syndicalistes. Orienté au centre gauche, il se montre très critique vis-à-vis du gouvernement conservateur. Contrairement aux autres quotidiens de référence britanniques, le journal a fait le choix d’un site en accès libre, qu’il partage avec son édition dominicale, The Observer. Les deux titres de presse sont passés au format tabloïd en 2018. Cette décision s’inscrivait dans une logique de réduction des coûts, alors que The Guardian perdait de l’argent sans cesse depuis vingt ans. Une stratégie payante en mai 2019, la directrice de la rédaction, Katharine Viner, a annoncé que le journal était bénéficiaire, une première depuis 1998. Lire la suite Nos services MoleHotel: L'hôtel le plus malhonnête du pays! - consultez 249 avis de voyageurs, 321 photos, les meilleures offres et comparez les prix pour Mole Hotel sur Tripadvisor. Passer au contenu principal. Avis. Voyages Alertes Connectez-vous. Messages. Tout afficher. Connectez-vous pour obtenir des informations sur vos voyages et envoyer des messages à d'autres Le Global Peace Index publie un classement mondial des pays du plus sûr au plus violent. Une dizaine de pays du continent figurent parmi les plus gangrenés par la guerre ou cherchant à en Global Peace Index, réactualisé pour l’année 2012, n’a pas entraîné de changement dans le classement des 10 pays africains les plus dangereux. La Somalie, en guerre civile depuis plus de 20 ans, reste toujours le pire pays au monde 158e sur 158, malgré les progrès faits sur le terrain, et les victoires récentes de l’Amisom, la force d’interposition de l’Union Africaine. Et le 10e reste l’Ethiopie, qui, au classement mondial, chute tout de même de six places de 131e sur 153 en 2011, à 137e sur 158 en 2012. *****Depuis 2007, le Global Peace Index, réalisé par l’institut de recherche Economics and Peace, classe 153 pays du globe du plus sûr au plus dangereux. Les 10 pays les plus dangereux d’Afrique sont soit des Etats embourbés depuis plusieurs années dans une guerre civile ou frontalière, soit des pays ayant conclu récemment des accords de paix, mais encore confrontés à des violences régulières qui les déstabilisent. Le classement évalue dans ce cas, les risques de reprise des combats et de résurgence de l’instabilité politique. Sont également prises en compte les menaces terroristes, dont certaines sont liées à classement 2011 est marqué par le printemps arabe et son impact sur la stabilité des pays de l’Afrique du Nord et du Moyen-Orient. Ainsi, des pays comme la Tunisie ou la Libye, pourtant présentés dans le précédent classement comme des havres de paix, figurent aujourd’hui dans le tableau – Ethiopie risques de résurgence des conflits antérieursL’Ethiopie a encore des relations tendues avec son voisin érythréen, plus de dix ans après la fin de la guerre qui les a opposés. Malgré la reconnaissance de la frontière établie par la Cour de justice internationale, le pays n’a pas entièrement retiré ses troupes de la région de Badme, au nord, attribuée à l’ ailleurs, lEthiopie est confrontée à deux mouvements autonomistes sur son territoire. Le premier, le Front de libération Oromo, touche une région très stratégique au sud-ouest, la plus peuplée d’Ethiopie et qui recèle d’importantes ressources naturelles. Le second, le Front national de libération de l’Ogaden, est basé à l’est, à la frontière avec la Somalie, et est doté d’une branche le plan politique, les élections générales de 2010 se sont déroulées dans le calme. Elles ont été remportées par le parti de Meles Zenawi, Premier ministre depuis 19 ans. Cependant, ce résultat a été dénoncé par plusieurs partis d’opposition réunis au sein de l’alliance du – Burundi crainte d’une radicalisation de l’oppositionLe Burundi a connu une guerre civile durant quinze ans. Les racines du conflit étaient les mêmes que celles de son voisin rwandais l’opposition entre les Tutsi et les Hutu. Le cessez-le-feu définitif a été établi avec les forces rebelles Hutu du Front national pour la libération FLN, l’ultime groupe encore armé en 2008. Ce dernier, renonçant à la lutte armée, est devenu un parti tenue d’élections en 2010 était donc un test pour la stabilité politique du pays. Première étape les élections locales ont conduit à la victoire du parti au pouvoir le Conseil national pour la défense de la démocratie et des forces de défense de la démocratie CNDD-FDD, avec 64% des voix. Le résultat, reconnu par la communauté internationale, a été contesté par l’opposition, le FLN en étape, les élections présidentielle juin 2010 et législatives juillet 2010. L’opposition a boycotté les deux scrutins en signe de protestation. Le président Pierre Nkurunziza a été réélu ans surprise. Par la suite, de nouvelles violences ont éclaté, faisant craindre une radicalisation de l’ – Zimbabwe reprise des violences politiquesLe Zimbabwe, sous le régime autoritaire de Robert Mugabe, au pouvoir depuis 1980 en tant que Premier ministre puis président à partir 1987, a connu une vague de violences après l’élection présidentielle controversée en 2008. Robert Mugabe et Morgan Tsvangirai, son principal rival, ont tous deux revendiqué la victoire au premier tour. Après le retrait de la course du second, le premier a été élu président et un accord de partage du pouvoir fut signé en septembre situation politique du pays a donné des signes d’apaisement en 2009 avec la mise en place d’un régime à deux têtes avec comme président, Robert Mugabe et comme Premier ministre Morgan Tsvangirai. Cette organisation bicéphale était provisoire et devait donner lieu à la rédaction d’une Constitution, préalable à la tenue d’une nouvelle élection en 2010, les tentatives du Premier ministre pour élaborer la Constitution ont été sabotées par le camp de Robert Mugabe. Des réunions publiques ont été interdites, procédant à des arrestations arbitraires, des pillages et des mises à sac. Dans ces conditions, l’élection présidentielle a peu de chances de se tenir en – Tchad pacification des relations de voisinageLe Tchad a sensiblement amélioré sa situation grâce à l’amélioration des relations avec les pays limitrophes. En 2009, la signature des accords de Doha avec le Soudan a amorcé une pacification des rapports entre les deux. En 2010, une force mixte composée de troupes du Tchad et du Soudan a été embellie n’est pas sans conséquence sur le conflit à l’est, hérité des tensions au Darfour de l’autre côté de la frontière. Le gouvernement soudanais a en effet retiré son soutien aux rebelles opérant au Tchad. Par conséquent, malgré quelques soubresauts, il a été mis fin à l’intrusion de bandes armées au Tchad, avec la défaite des rebelles de l’Union des forces de la résistance et la signature à Doha de l’accord sur la normalisation et de sécurisation des frontières entre le Tchad et le Soudan PDF en janvier 2010 à N’Djamena, la capitale tchadienne, et qui fut suivi en février d’une visite du président tchadien Idriss Déby à Khartoum, capitale Global Peace Index, la situation politique du pays s’est également stabilisée dans la perspective des élections législatives et présidentielle de 2011. Faute d’opposition structurée, Idriss Déby a sans surprise été réélu à la présidence en avril – Nigeria entre guerre de religion et guerre économiqueL’instabilité qui règne dans le centre et le sud du pays ne s’est pas calmée avec la réélection de Goodluck Jonathan en avril 2011. Le Nigeria, pays le plus peuplé d’Afrique avec ses 155 millions d’habitants, est marqué par un conflit au centre, dans la région de Jos. Des tueries entre musulmans et chrétiens ont provoqué près de morts sur les dix dernières années. 2010 a été ponctuée par des meurtres de chrétiens et de musulmans. Le motif religieux souvent évoqué n’est pas l’unique raison à ce conflit. Des motivations économiques ont conduit à la migration vers le sud majoritairement chrétien des éleveurs chrétiens sans autre bataille économique se joue dans le delta du Niger, au sud. Le gouvernement nigérian est aux prises avec un groupe terroriste. Ce dernier attaque les installations et le personnel des compagnies pétrolières. Appelé Mouvement pour l’émancipation du delta du Niger MEND, il a multiplié les enlèvements d’expatriés et les attaques sur les oléoducs, réduisant à néant les tentatives d’armistice engagées par l’Etat. De 2006 à 2008, le pays aurait perdu un quart de sa production pétrolière à cause de ces – Libye le printemps arabe tourne à la guerre civileLa Libye est entrée en guerre civile à la suite du soulèvement populaire de février 2011. Les manifestations, inspirées des exemples tunisien et égyptien, ont conduit à la chute de l’autorité de Mouammar Kadhafi dans l’est du pays, particulièrement dans la ville de Benghazi où avait commencé l’insurrection. Plusieurs responsables du régime ont rejoint l’opposition. Face à cette situation, le Guide libyen a répondu par la force début mars, lançant ses troupes contre les villes rebelles. L’intervention internationale qui a eu lieu le 20 mars après l’établissement du classement, sous la bannière de l’Otan n’a pas abouti à la sortie de crise rapide – République Centrafricaine une année préélectorale mouvementéeLa République Centrafricaine est désormais placée dans les 10 pays les plus dangereux au monde. La période 2010/2011 a été marquée par une nouvelle agitation dans plusieurs zones de tension du pays. Un climat dû à la tenue, en janvier 2011, de l’élection présidentielle, qui a vu la réélection de François nord-est dans la zone frontalière avec le Soudan et le Tchad, l’armée régulière a fait face à des groupes rebelles. En 2008, un accord de paix a été signé avec quatre des factions armées présentes dans la zone. Seulement, certains groupes non signataires sévissent toujours. En 2010, peu de temps après le retrait de la mission de l’ONU, les rebelles de la Convention des patriotes pour la justice et la paix CPJP, ont attaqué la ville de Birao, finalement reprise par les troupes gouvernementales aidées de l’armée tchadienne. En juin 2011, un accord de cessez le feu a été signé entre le gouvernement centrafricain et le terrain sensible, le sud-est du pays où sévit les troupes de la Lord’s Resistance Army LRA menée par Joseph Kony, personnage sous le coup d’un mandat d’arrêt international depuis 2005. Ce groupe, des plus violents, est apparu en 1988 en Ouganda et a pris une envergure internationale occupant également la RDC et le Sud-Soudan. Ils s’adonnent à des pillages et à des enlèvements de – République démocratique du Congo l’émergence d’une menace terroristeLa République démocratique du Congo est empoisonnée par l’activité sur les franges de son territoire, de plusieurs groupes armés et terroristes concentrés à l’est du pays. C’est principalement au Kivu, dans la région des Grands Lacs, que la situation s’est envenimée en conflit né de l’arrivée massive de réfugiés à la fin du génocide rwandais, oppose notamment les forces de l’armée nationale FARDC et le congrès national pour la défense des peuples CNDP de Laurent Nkunda, un ancien militaire le Global Peace Index, le conflit pour la domination régionale et les ressources régionales opposant les forces de l’armée nationale FARDC et les Forces démocratiques de Libération du Rwanda FDLR a connu une baisse sensible des revanche, de nombreux combats entre les FARDC et le congrès national pour la défense des peuples CNDP de Laurent Nkunda, un ancien militaire Tutsi ont éclaté en 2010 en dépit de l’accord de cessez-le-feu de une tentative d’intégration du CNPD à l’armée régulière et un accord de cessez-le-feu en 2008, ce dernier est régulièrement violé. En 2010, de nombreux combats entre les deux parties ont à l’est, le gouvernement congolais est aux prises avec des rebelles ougandais, les Forces démocratiques alliés-Armée nationale de libération de l’Ouganda ADF-NALU. Or, en 2010, les soupçons de lien entre ces derniers et les shebab somaliens, un groupe islamiste fondamentaliste proche d’al-Qaida, se sont – Soudan des solutions politiques aux conflits fragilesEn 2010, la situation du Soudan —déjà mauvaise— a empiré. Le pays est en proie depuis plusieurs années à deux conflits intérieurs lourds de conséquences sur les plans humain et politique. Selon le Global Peace Index, le nombre total de réfugiés et déplacés à l’intérieur du pays s’élève à 5,3 millions de l’ouest, le conflit au Darfour a fait morts y compris ceux dus à la famine et aux maladies et 2,7 millions de déplacés depuis 2003, rapporte Global Peace Index. En 2006, un accord de paix est signé entre le gouvernement du président Omar el-Béchir et le Mouvement pour la justice et l’égalité JEM, le plus puissant des groupes rebelles. Mais, la paix est fragile, l’ensemble des factions ne l’ayant pas signée. En 2010, des heurts opposent à nouveau le gouvernement et plusieurs groupes armés dont le JEM au nord et à l’ouest de la région, conduisant la mission de l’ONU-Union Africaine au Darfour à prolonger son intervention d’un an et à accroître ses Sud, le conflit du Soudan du Sud est en voie d’achèvement avec le référendum d’auto-détermination qui s’est tenu en janvier 2011 et qui a abouti à la proclamation, le 9 juillet, de la République du Soudan du Sud. En outre, la situation de la zone d’Abyei, exclue du vote de janvier, reste encore – La Somalie vingtième année de guerre civile généraliséeLa Somalie est plongée depuis 1991 dans une guerre civile. Un conflit qui oppose le gouvernement fédéral de transition, soutenu par l’ONU et conduit par le président Cheikh Sharif Sheikh Ahmed, à plusieurs groupes de rebelles islamistes, pour certains proches d’ reconnu à l’intérieur du territoire somalien, le gouvernement de Cheikh Sharif Sheikh Ahmed n’arrive pas à imposer un Etat opérationnel sur l’ensemble du pays. Le seul morceau de territoire qu’il contrôle encore est une partie de la capitale Mogadiscio. La ville est le théâtre régulier, notamment en 2010, de combats violents entre les deux camps pour en conserver la terreur dans le pays a eu pour conséquence le déplacement de plus de 1,9 million de personnes, soit plus de 20% des Somaliens selon le Haut commissariat des Nations unies pour les réfugiés HCR. Il est difficile d’entrevoir une stabilisation du pays. Le mandat du gouvernement de transition, censé s’achever en août 2011, a été prolongé d’un an afin d’organiser des élections dans de meilleures Barbaut & Vision of Humanity
Mendesfait partie de l’élite des agents les plus influents dans le football, avec notamment Cristiano Ronaldo, ou José Mourinho dans
Home Société Top 25 des pays les plus malheureux du monde La Guinée sur la liste de World Happiness Report » Selon le rapport 2018 sur le Bonheur mondial World Happiness Report, le Burundi est le pays le plus malheureux du monde. Une étude internationale sur le bonheur publiée le 16 mars a révélé le classement des pays les plus ou moins heureux. A la dernière place des pays les plus heureux figure le Burundi, plongé dans une grave crise émaillée de violences depuis que le président a annoncé sa candidature en avril 2015 pour un troisième mandat qu’il a obtenu en juillet. Les profonds désaccords entre le pouvoir et l’opposition a fait voler en éclats l’équilibre politique qui avait été trouvé grâce à la formule de partage du pouvoir instituée par les accords d’Arusha de 2000. Ainsi, sans surprise, le Burundi est le pays le plus malheureux du monde, comme en 2015 et 2016. En 2017, le Togo avait ravi la vedette au Burundi, mais s’est reclassé cette année. Selon les auteurs, six facteurs ont été pris en compte – le PIB par habitant, les soutiens sociaux, l’espérance de vie, la liberté sociale, la générosité et l’absence de corruption – expliquent presque les trois quarts des variations entre les pays. La Guinée figure à la 17ème place. Voici le classement mondial Burundi République centrafricaine Soudan du Sud Tanzanie Yémen Rwanda Syrie Liberia Haiti Malawi Botswana Afghanistan Zimbabwe Madagascar Angola Lesotho Guinée Togo Ukraine Soudan Bénin Uganda Niger Inde Congo Kinshasa Il faut noter que, World Happiness Report classe aussi les pays les plus heureux de l’année. Pour cette année 2018, voici le Top 10 des pays africains les plus heureux. L’Ile Maurice Libye Algérie Maroc Nigeria Somalie Cameroun Gabon Afrique du Sud Côte d’Ivoire Créé par l’ONU en 2012, le World Happiness Report vise à influencer la politique du gouvernement et énumère notamment la compassion, la liberté, la générosité, l’honnêteté, la santé, les filets sociaux et la bonne gouvernance ». La méthodologie utilisée consiste à demander à un échantillon d’environ personnes de répondre à une série de questions sur la perception de leur qualité de vie sur une échelle de 1 à 10. Dpecheguinee avec BwebTV

Quatrechercheurs, co-auteurs, ont mené des enquêtes sur l’honnêteté. Ils en ont publié les résultats, le jeudi 20 juin 2019, dans Science. Ainsi, alors

Bilan de Félix Tshisekedi "C’est extrêmement malhonnête que Moïse Katumbi dise qu’il ne partagera pas le bilan de l’Union Sacrée" Jean Thierry Monsenepwo 2022-03-04 Moise Katumbi et Félix Tshisekedi, président de la République "Le bilan du Président Félix Tshisekedi est nul, Ensemble pour la République ne le partagera pas en 2023". C’est l’une des phrases qui est ressortie de l’interview de Francis Kalombo, cadre du parti Ensemble. Jean Thierry Monsenepwo de la Convention des Congolais Unis CCU a tenu à réagir à ces propos du cadre du parti de Moïse Katumbi, sur le bilan du Président Félix Tshisekedi. Pour Monsenepwo, quand les choses ne marchent pas il faut avoir le courage de quitter le navire comme l’ont fait certains hommes politiques à l’époque de Kabila. "Certains grands hommes politiques de ce pays quand ils ont vu le système ne pas marcher, ils ont démissionné, ils se sont auto-exclus de l’AMP Alliance de la Majorité Présidentielle notamment ; Mr Olivier Kamitatu, Mwando Osimba, Pierre Lumbi, Moïse Katumbi et autres", a-t-il rappelé. Jean Thierry Monsenepwo Jean Thierry Monsenepwo continue, "ceux qui sont au Gouvernement aujourd’hui, du parti Ensemble, ne partagent ce même point de vue parce qu’ils sont sur terrain et voient ce qui se passe. Par exemple, le ministre du Plan grâce à qui nous avons vu la matérialisation du programme de développement de base des 145 territoires. Autre exemple le ministre Sherubin Okende grâce à qui la RDC aura une deuxième compagnie aérienne à côté de Congo Airways,…", a-t-il relevé tout en déplorant la position de président de Ensemble pour la République. "C’est extrêmement malhonnête que Katumbi dise qu’il ne partagera pas le bilan du Félix Tshisekedi. C’est comme si la défaite du club Mazembe est dû à un seul joueur sur terrain". Hénoc MCP / 8808 suivent la conversation 24 commentaires Cest important de soutenir cette manifestation au niveau européen parce que la privatisation du rail, par exemple, et les attaques sur les conditions des travailleurs sont des décisions prises avant tout au niveau européen. Cela concerne donc tous les travailleurs européens. C’est là que nous devons nous battre. Ca nous concerne donc directement, nous, les cheminots belges, Je vous propose de partir à la découverte de 10 pays peu connus ou très peu visités et qui méritent largement le détour que ce soit parce qu’ils sont d’une façon ou une autre emblématique ou tout simplement car leurs richesses sont méconnues comme l’Ethiopie par exemple. J’ai découpé cette liste en deux parties de 5 pays. Il n’y a pas de classement à proprement dire. Pour la seconde partie c’est par ici 5 pays fascinants et merveilleux. Il s’agit d’un article très inspiré c’est surtout une traduction d’un article du même style en anglais Top 10 Unusual countries to visit Tadjkistan La vallée de Wakhan entre l'Afghanistan et le Tadjikistan par sugarmelon Je suis sur que pas mal d’entre vous connaissent ce pays seulement de nom. Il s’agit d’une des anciennes républiques de l’Union Soviétique en Asie Centrale entre la Chine et l’Ouzbékistan. La Route de la Soie traversait le pays qui est très montagneux, la région du Pamirs compte parmi les plus hautes montagnes du monde. Pour l’anecdote, Douchanbé, la capitale est sans doute la ville de naissance de Viktor Bout, le célèbre marchand d’armes qui a inspiré Lord of War avec Nicolas Cage. C’est un des pays les moins visités au monde avec seulement quelques milliers de visiteurs par an dont une bonne partie pour le business. Rien que pour cette raison, il peut être intéressant de faire un voyage en Asie centrale sans compter que les habitants ont également un sens très fort de l’hospitalité. Une place au Tadjikistan par Babasteve Le Pamirs au Tadjikistan par mmj Timor Oriental Récolte au Timor Oriental Le Timor Oriental est sans doute un des pays les moins connus du monde, c’est également un des plus récents avec son indépendance qui remonte à 2002. Ce pays est composé de la moitié est de l’île de Timor au nord de l’Australie et a été envahi par l’Indonésie bien que l’annexion ne fut jamais reconnue. Ce fut le siège d’une terrible guerre d’indépendance pendant plusieurs décennies avec des dizaines de milliers de morts et le pays se remet petit à petit de cette période. Il s’agit d’un pays très peu exploré avec une organisation encore très rurale et où le voyageur est en général très bien accueilli étant donné que le tourisme y est encore peu répandu. Le Timor Oriental par Sugu Un bâteau de pêcheur au large de l'île Autaro Sierra Leone Lunsa au Sierra Leone par Mustafa Ozturk Le pays tristement connu pour les diamants de sang avec le film du même nom est un petit pays coincé d’Afrique de l’Ouest qui compte de nombreuses richesses diamants, or, etc. sans compter que le site naturel de la capitale, Freetown, est un des plus larges ports naturels au monde ce qui amène de nombreux cargos dans la ville. Malheureusement tout cela ne profite pas à la population, le Sierra Leone est un des pays les plus pauvres du monde. Il s’agit d’un pays très tolérant avec une très forte cohabitation entre catholiques et musulmans. C’est là que l’adage qui veut que les gens pauvres soient les plus accueillants prend sa valeur. Un village au Sierra-Leone par Mustafa Ozturk Une mosquée au Sierra-Leone par Mustafa Ozturk Les îles Kiribati Un village des Kiribati par Jopology Ce petit archipel du Paifique est de plus en plus ou pas… sous les projecteurs des média occidentaux car c’est sans doute le premier pays qui va disparaître à cause du réchauffement climatique et de la montée des eaux. En effet l’immense majorité du pays est à moins de deux mètres de hauteur, il ne faut donc pas grand chose pour noyer ce petit pays. Les habitants luttent pour essayer de trouver des pays prêts à les héberger mais ce n’est pas toujours facile, c’est là qu’on voit que la solidarité a vraiment ses limites… Un voyage aux Kiribati peut être une expérience car d’une part une grande partie du pays est resté à l’état naturel et d’autre part car les habitants sont très amicaux. C’est là qu’on peut également comprendre à quel point le réchauffement climatique touche tout le monde sans différenciation d’ethnie, de peuple, etc. et qu’il va falloir s’entraider… Le désespoir des Kiribatiens par 350 dot org Le Kiribati par Rafael Coya Corée du Nord Un poster de propagande Il est impossible de finir la première partie de la liste sans évoquer la Corée du Nord qui est incontestablement le pays le plus fermé du monde. C’est sans doute le pays le plus militarisé du monde avec ses 9 millions de soldats. C’est le pays de la démesure où tout est contrôlé au millimètre près avec une discipline très stricte. On peut évoquer par exemple la cérémonie Arirang qui met en place des chorégraphies très synchronisées avec de nombreux acteurs. Il est possible de visiter certaines régions du pays mais sous très haute surveillance. Il est en effet obligatoire de passer par un tour-opérateur nord coréen qui ne manquera pas de vous faire passer par un processus administratif très complexe afin de savoir si vous avez le bon profil » pour visiter » le pays. Si vous arrivez à pouvoir aller en Corée du Nord, il ne faut pas vous leurrer, vous n’aurez sans doute pas la vision réelle de comment la population vit mais je pense que ça reste une très forte expérience du genre 1984 » le livre d’Orwell appliqué à la vie réelle avec la discipline, les secrets, le contrôle permanent, etc. Une cérémonie Arirang par Leef Smith Dans la campagne au nord de Pyongyang par Jensowagner J’espère que cette liste vous aura plus et vous aura fait rêver voire même incité à partir dans un de ces pays ! La suite pour dans plusieurs jours, n’hésitez pas à vous inscrire à la newsletter ou au flux RSS ! Et vous, avez-vous connu un pays que vous qualifieriez de très inhabituel ? YKVHqcw.
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